J’ai commencé cette semaine un nouveau coaching. Lors de mes dernières années d’enseignement, un ami m’a demandé si je voulais bien accompagner son fils qui avait des difficultés importantes à surmonter. Il m’expliqua le rôle qu’il croyait que je pourrais jouer et qu’il nomma alors : coach de vie. Il s’agissait principalement d’aider son fils à trouver et à mettre en pratique des solutions à ses problèmes, et ce à travers une relation plus personnelle que professionnelle. Être en relation dans une perspective d’aide, bien sûr, mais sans agenda particulier : j’écoute, je suggère parfois, je partage à d’autres moments mes expériences et nous échangeons simplement, souvent. Cela me fait penser à une relation de grand frère ou quelque chose du genre. On peut aussi voir cela comme un « entraînement » à résoudre ses problèmes ou à mieux vivre et c’est alors apparenté à ce qu’un coach peut effectuer comme démarche dans les domaines sportifs. Je crois d’ailleurs que les expressions de coach personnel ou coach de vie sont largement dérivées de ce contexte.